Menace de mort : le supect dénoncé par son amie
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Menace de mort : le supect dénoncé par son amie
C'est son ancienne compagne qui, ayant eu vent des lettres, est allée spontanément se présenter à la police pour dire ses soupçons. Un suspect, âgé de 47 ans, a été arrêté mercredi chez lui, dans le centre de Montpellier, dans le cadre de l'enquête sur les courriers de menaces de mort envoyés à Nicolas Sarkozy, 3 ministres, 6 élus, TF1 et France Télévisions.
Selon nos informations, il s'agit d'un informaticien qui pourrait être un ancien militaire. Une source proche de l'enquête avait indiqué mardi que le vocabulaire utilisé dans les missives ("piste", "cible", "verrouillé", "silence radio total") faisait penser au langage des militaires. L'ex-compagne du suspect a eu la puce à l'oreille car "il aurait employé pour la menacer des termes proches de ceux utilisés dans les lettres" du corbeau, selon une source proche du dossier. L'homme a été placé en garde à vue à la PJ de Montpellier (sa garde à vue peut se prolonger jusqu'à 96 heures s'agissant d'un dossier entre les mains du parquet antiterroriste), tandis qu'une perquisition était réalisée à son domicile. Mais les enquêteurs n'ont saisi qu'un oridnateur hors d'âge -ce qui est assez étonnant pour un informaticien- et un ou deux texto sur son portable qui pourraient être intéressant. Ils n'ont en revanche trouvé ni arme, ni balles ou douilles. "Nous n'avons pas de confirmation que ce soit lui" qui ait envoyé les lettres de menaces, a toutefois souligné une source proche de l'enquête sur place ajoutant : "On vérifie cette piste là comme d'autres".
Tous les courriers postés dans l'Hérault
Outre le chef de l'Etat, Rachida Dati, Michèle Alliot-Marie, Christine Albanel, Alain Juppé et d'autres élus ou responsables UMP, TF1 a annoncé que le PDG de TF1, Nonce Paolini, a également été destinataire d'une lettre de menace similaires, accompagnée là encore d'une balle. Selon une source proche du dossier, l'enveloppe est parvenue mercredi matin au siège de TF1 à Boulogne-Billancourt. Puis France Télévisions a aussi annoncé avoir été destinataire d'une lettre de menace contenant une balle. Le courrier était adressé au service de l'information de France Télévisions.
Rapidement, les policiers ont privilégié une piste locale, a confié un représentant du parquet de Paris qui centralise l'enquête. Tous les courriers ont en effet été postés dans l'Hérault, selon une source judiciaire. Selon le parquet, les menaces proviendraient probablement d'un ou de "déséquilibrés". "De toute évidence, c'est quelqu'un qui est un petit peu dérangé", a estimé mercredi la ministre de l'Intérieur Michèle Alliot-Marie.
Référence à une précédente menace adressée en 2007
"Ministres, députés, sénateurs, pourvoyeurs de lois liberticides (...) vous n'êtes que des morts en sursis", proclament les courriers qui menacent également "l'UMP, le Nouveau centre FN et autres collabos centristes ou socialos collabos". Ces courriers de menaces ont été envoyés en deux vagues. La première a été postée début février d'un même endroit à proximité de Béziers. Ce premier courrier-type, accompagné d'une balle de calibre 38, a été adressé au sénateur-maire UMP de Béziers Raymond Couderc et au président de la République. Il fait référence à une précédente menace adressée en mai 2007 à Marcel Roques, maire de Lamalou-les-Bains, commune de l'Hérault de 2.300 habitants. Cette lettre de menaces était déjà accompagnée d'une balle (de calibre 44), selon une source proche de l'enquête, confirmant une information du Parisien. L'enquête n'avait pas permis d'identifier l'expéditeur.
La deuxième vague d'envois de lettres de menaces, également postées dans l'Hérault, a été notamment adressée aux ministres de l'Intérieur, de la Justice et de la Culture Christine Albanel ainsi qu'au maire UMP de Bordeaux, Alain Juppé. Le député du Nord UMP Christian Vanneste et le sénateur UMP de Lozère Jacques Blanc ont également reçu ce courrier, chaque fois accompagné d'une balle de 9 mm. Tous sont nommément cités dans ce courrier, ainsi que le député UMP des Hauts-de-Seine et porte-parole du parti, Frédéréic Lefebvre, et le maire UMP de Perpignan, Jean-Paul Alduy. Mais ces derniers ont indiqué à l'AFP ne pas avoir reçu de lettre.
L'envoi de menaces de mort est puni d'une peine d'emprisonnement allant jusqu'à 3 ans et 45.000 euros d'amende.
Selon nos informations, il s'agit d'un informaticien qui pourrait être un ancien militaire. Une source proche de l'enquête avait indiqué mardi que le vocabulaire utilisé dans les missives ("piste", "cible", "verrouillé", "silence radio total") faisait penser au langage des militaires. L'ex-compagne du suspect a eu la puce à l'oreille car "il aurait employé pour la menacer des termes proches de ceux utilisés dans les lettres" du corbeau, selon une source proche du dossier. L'homme a été placé en garde à vue à la PJ de Montpellier (sa garde à vue peut se prolonger jusqu'à 96 heures s'agissant d'un dossier entre les mains du parquet antiterroriste), tandis qu'une perquisition était réalisée à son domicile. Mais les enquêteurs n'ont saisi qu'un oridnateur hors d'âge -ce qui est assez étonnant pour un informaticien- et un ou deux texto sur son portable qui pourraient être intéressant. Ils n'ont en revanche trouvé ni arme, ni balles ou douilles. "Nous n'avons pas de confirmation que ce soit lui" qui ait envoyé les lettres de menaces, a toutefois souligné une source proche de l'enquête sur place ajoutant : "On vérifie cette piste là comme d'autres".
Tous les courriers postés dans l'Hérault
Outre le chef de l'Etat, Rachida Dati, Michèle Alliot-Marie, Christine Albanel, Alain Juppé et d'autres élus ou responsables UMP, TF1 a annoncé que le PDG de TF1, Nonce Paolini, a également été destinataire d'une lettre de menace similaires, accompagnée là encore d'une balle. Selon une source proche du dossier, l'enveloppe est parvenue mercredi matin au siège de TF1 à Boulogne-Billancourt. Puis France Télévisions a aussi annoncé avoir été destinataire d'une lettre de menace contenant une balle. Le courrier était adressé au service de l'information de France Télévisions.
Rapidement, les policiers ont privilégié une piste locale, a confié un représentant du parquet de Paris qui centralise l'enquête. Tous les courriers ont en effet été postés dans l'Hérault, selon une source judiciaire. Selon le parquet, les menaces proviendraient probablement d'un ou de "déséquilibrés". "De toute évidence, c'est quelqu'un qui est un petit peu dérangé", a estimé mercredi la ministre de l'Intérieur Michèle Alliot-Marie.
Référence à une précédente menace adressée en 2007
"Ministres, députés, sénateurs, pourvoyeurs de lois liberticides (...) vous n'êtes que des morts en sursis", proclament les courriers qui menacent également "l'UMP, le Nouveau centre FN et autres collabos centristes ou socialos collabos". Ces courriers de menaces ont été envoyés en deux vagues. La première a été postée début février d'un même endroit à proximité de Béziers. Ce premier courrier-type, accompagné d'une balle de calibre 38, a été adressé au sénateur-maire UMP de Béziers Raymond Couderc et au président de la République. Il fait référence à une précédente menace adressée en mai 2007 à Marcel Roques, maire de Lamalou-les-Bains, commune de l'Hérault de 2.300 habitants. Cette lettre de menaces était déjà accompagnée d'une balle (de calibre 44), selon une source proche de l'enquête, confirmant une information du Parisien. L'enquête n'avait pas permis d'identifier l'expéditeur.
La deuxième vague d'envois de lettres de menaces, également postées dans l'Hérault, a été notamment adressée aux ministres de l'Intérieur, de la Justice et de la Culture Christine Albanel ainsi qu'au maire UMP de Bordeaux, Alain Juppé. Le député du Nord UMP Christian Vanneste et le sénateur UMP de Lozère Jacques Blanc ont également reçu ce courrier, chaque fois accompagné d'une balle de 9 mm. Tous sont nommément cités dans ce courrier, ainsi que le député UMP des Hauts-de-Seine et porte-parole du parti, Frédéréic Lefebvre, et le maire UMP de Perpignan, Jean-Paul Alduy. Mais ces derniers ont indiqué à l'AFP ne pas avoir reçu de lettre.
L'envoi de menaces de mort est puni d'une peine d'emprisonnement allant jusqu'à 3 ans et 45.000 euros d'amende.
agulia- Nombre de messages : 36
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Re: Menace de mort : le supect dénoncé par son amie
sont ex amie (femme) ,il a été relacher ,je suppose une vengance ... raaa les bonne femmes ... hahahaha
LoWaX- Nombre de messages : 141
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